Nous faisons une dernière visite le dimanche précédent notre départ de la région d'Iguazu, dans un parc qui recueille et soigne les animaux sauvages d'Argentine. Ceux-ci ont pour la plupart été confisqués par la police à des trafiquants d'animaux, ou à des foyers de particuliers qui en possédaient alors que c'est illégal en Argentine (car tous ces animaux sont menacés d'extinction). D'autres ont subis des traumatismes en étant percutés par des voitures, d'autres ont été retrouvés blessés, ou encore ont subis des tests par des laboratoires comme les deux singes hurleurs en photo (qui poussent d'ailleurs de sacré cris comme leur nom l'indique). Ce parc héberge de nombreux animaux tels que oiseaux, reptiles, singes, furets, fourmilier ou encore félins. Leur but est d'essayer de les réintroduire dans leur milieu naturel après les avoir soigné en procédant par plusieurs étapes. Parfois cela ne fonctionne pas, et ce sont ces animaux là que le parc nous fait découvrir, pour ne pas habituer à l'être humain ceux qui ont une chance de retourner à la vie sauvage. Une visite très intéressante en anglais cette fois-ci :-) au coeur de la jungle.
Le lundi matin nous quittons cette belle région tropicale d'Iguazu pour la région plus désertique de Salta au Nord du pays, proche des frontières de Bolivie et du Pérou. Cette fois-ci nous prenons l'avion (même si on préfère éviter d'habitude) pour s'économiser 24 heures de bus avec plusieurs changements contre un trajet direct de 2h en avion ! Et ne pas revivre une nouvelle galère pour que les différents chauffeurs de bus acceptent à chaque fois nos vélos. :-D
De plus, la différence de prix pour ce trajet n'est pas énorme entre le bus et l'avion.
Le trajet s'est donc déroulé sans soucis cette fois-ci jusqu'à Salta!
Le lundi matin nous quittons cette belle région tropicale d'Iguazu pour la région plus désertique de Salta au Nord du pays, proche des frontières de Bolivie et du Pérou. Cette fois-ci nous prenons l'avion (même si on préfère éviter d'habitude) pour s'économiser 24 heures de bus avec plusieurs changements contre un trajet direct de 2h en avion ! Et ne pas revivre une nouvelle galère pour que les différents chauffeurs de bus acceptent à chaque fois nos vélos. :-D
De plus, la différence de prix pour ce trajet n'est pas énorme entre le bus et l'avion.
Le trajet s'est donc déroulé sans soucis cette fois-ci jusqu'à Salta!