Nous attaquons donc notre première journée de pédalage en Nouvelle-Zélande, non par une étape des plus faciles.
Le début est plutôt aisé, 6o kilomètres de plat. Mais s’en suit déjà un col. Après une semaine sans vélo, nous ressentons déjà les 60 kilomètres dans les jambes. Nous grimpons finalement plutôt bien ce premier col de 8 kilomètres. Nous découvrons alors un chouette panorama ! La mer s'engouffre dans une baie tentaculaire et entourée par des collines verdoyantes. Il aurait été en effet dommage de louper ce joli coin !
La journée n’est pourtant pas finie : 4 grosses bosses se présentent à nous, la dernière très raide et en pleine chaleur nous a tué ! Le trou de la couche d’ozone est au-dessus de la Nouvelle-Zélande, ce qui rend le soleil très agressif !
Nous finissons nos 85 kilomètres de la journée bien fatigués. Pourtant nous devons encore trouver un peu d’énergie quand notre tente décide de faire des siennes... À priori, elle n’a pas aimé le dernier trajet en avion, les bagages ont dû être comprimés, car déjà notre guidon de vélo était tordu en arrivant à Christchurch, et maintenant les arceaux de la tente ont l’air d’avoir forcé. Effectivement, un grand crac se fait entendre au montage de la tente, un morceau d’arceau vient de se fendre. Un gentil voisin français viendra nous donner un coup de main pour analyser le problème et fixer le tuyau de réparation fournit avec la tente ! Vive la solidarité nationale ;-)
Nous nous réveillons aux aurores le lendemain matin pour aller à la rencontre des dauphins ! Mais pas n’importe quel dauphin, le dauphin Hector, endémique à la Nouvelle-Zélande, qui vit en partie dans cette péninsule. Durant l’excursion en bateau, nous avons pu voir plusieurs de ces petits dauphins et aussi un pingouin bleu. Notre groupe a tenté de se mettre à l’eau alors que 3 dauphins se situaient proche du bateau. Mais une fois à l’eau, les dauphins sont restés à une trentaine de mètres avant de s’en aller. Nous n’avons donc pas eu la chance de nager avec eux, mais la baignade dans ce cadre était top et l’excursion en bateau nous a offert de beaux panoramas ! De plus, un peu plus de la moitié du prix nous a été remboursé, fair play les Néo-zélandais, donc pas de regret !
Si nous pouvons, nous retenterons notre chance dans l’autre lieu de l’île qui propose aussi cela.
À notre retour sur le ponton, nous avons le plaisir d’admirer 3 belles raies ! Pendant ce temps, nous avons rencontré un jeune français, Antoine, qui voyage en van, avec qui nous avons passé une partie de l’après-midi et de la soirée. Vous comprendrez peu après pourquoi parler de cette rencontre à de l’importance.
Nous visitons ensuite Akaora, ce fameux village à connexion française. Pourquoi nous direz vous ?
Petite leçon d’histoire :
un navigateur français, Langlois, découvrit cette belle péninsule peu après que James Cook eut découvert la Nouvelle-Zélande et déjà approprié l’île du Nord comme anglaise.
Séduit par cette péninsule, et on comprend pourquoi en y étant, les français ont voulu s’y installer et ont acheté des terres aux Maoris. Quand James Cook appris que des français voulaient s’installer dans l’île du sud, il s’empressa de déclarer l’île du sud de Nouvelle-Zélande de souveraineté anglaise ! Dommage, comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande aurait pu être française ! :-)
En ce qui concerne donc la connexion française du village, nous avons trouvé que cela relevait plus du folklore que d’une évidente similitude avec la France, hormis par les noms des magasins ou des rues comme vous pourrez le voir sur les photos. Mais ça attire les touristes, alors…
Nous quittons la péninsule le dimanche, nous avions décidé de diminuer le challenge en faisant les 4 bosses le samedi soir et en ne gardant que le col et les 60 kilomètres de plat le dimanche pour retourner à Christchurch. Nous empruntons en partie une route différente, en empruntant un trail conseillé par Biffy, qui longe un lac puis passe dans une jolie lagune. Nous subissons le vent de face mais pas encore trop fort, et nous commençons un peu à comprendre ce que voulaient dire certaines personnes : attention au vent à vélo en Zélande …
Le début est plutôt aisé, 6o kilomètres de plat. Mais s’en suit déjà un col. Après une semaine sans vélo, nous ressentons déjà les 60 kilomètres dans les jambes. Nous grimpons finalement plutôt bien ce premier col de 8 kilomètres. Nous découvrons alors un chouette panorama ! La mer s'engouffre dans une baie tentaculaire et entourée par des collines verdoyantes. Il aurait été en effet dommage de louper ce joli coin !
La journée n’est pourtant pas finie : 4 grosses bosses se présentent à nous, la dernière très raide et en pleine chaleur nous a tué ! Le trou de la couche d’ozone est au-dessus de la Nouvelle-Zélande, ce qui rend le soleil très agressif !
Nous finissons nos 85 kilomètres de la journée bien fatigués. Pourtant nous devons encore trouver un peu d’énergie quand notre tente décide de faire des siennes... À priori, elle n’a pas aimé le dernier trajet en avion, les bagages ont dû être comprimés, car déjà notre guidon de vélo était tordu en arrivant à Christchurch, et maintenant les arceaux de la tente ont l’air d’avoir forcé. Effectivement, un grand crac se fait entendre au montage de la tente, un morceau d’arceau vient de se fendre. Un gentil voisin français viendra nous donner un coup de main pour analyser le problème et fixer le tuyau de réparation fournit avec la tente ! Vive la solidarité nationale ;-)
Nous nous réveillons aux aurores le lendemain matin pour aller à la rencontre des dauphins ! Mais pas n’importe quel dauphin, le dauphin Hector, endémique à la Nouvelle-Zélande, qui vit en partie dans cette péninsule. Durant l’excursion en bateau, nous avons pu voir plusieurs de ces petits dauphins et aussi un pingouin bleu. Notre groupe a tenté de se mettre à l’eau alors que 3 dauphins se situaient proche du bateau. Mais une fois à l’eau, les dauphins sont restés à une trentaine de mètres avant de s’en aller. Nous n’avons donc pas eu la chance de nager avec eux, mais la baignade dans ce cadre était top et l’excursion en bateau nous a offert de beaux panoramas ! De plus, un peu plus de la moitié du prix nous a été remboursé, fair play les Néo-zélandais, donc pas de regret !
Si nous pouvons, nous retenterons notre chance dans l’autre lieu de l’île qui propose aussi cela.
À notre retour sur le ponton, nous avons le plaisir d’admirer 3 belles raies ! Pendant ce temps, nous avons rencontré un jeune français, Antoine, qui voyage en van, avec qui nous avons passé une partie de l’après-midi et de la soirée. Vous comprendrez peu après pourquoi parler de cette rencontre à de l’importance.
Nous visitons ensuite Akaora, ce fameux village à connexion française. Pourquoi nous direz vous ?
Petite leçon d’histoire :
un navigateur français, Langlois, découvrit cette belle péninsule peu après que James Cook eut découvert la Nouvelle-Zélande et déjà approprié l’île du Nord comme anglaise.
Séduit par cette péninsule, et on comprend pourquoi en y étant, les français ont voulu s’y installer et ont acheté des terres aux Maoris. Quand James Cook appris que des français voulaient s’installer dans l’île du sud, il s’empressa de déclarer l’île du sud de Nouvelle-Zélande de souveraineté anglaise ! Dommage, comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande aurait pu être française ! :-)
En ce qui concerne donc la connexion française du village, nous avons trouvé que cela relevait plus du folklore que d’une évidente similitude avec la France, hormis par les noms des magasins ou des rues comme vous pourrez le voir sur les photos. Mais ça attire les touristes, alors…
Nous quittons la péninsule le dimanche, nous avions décidé de diminuer le challenge en faisant les 4 bosses le samedi soir et en ne gardant que le col et les 60 kilomètres de plat le dimanche pour retourner à Christchurch. Nous empruntons en partie une route différente, en empruntant un trail conseillé par Biffy, qui longe un lac puis passe dans une jolie lagune. Nous subissons le vent de face mais pas encore trop fort, et nous commençons un peu à comprendre ce que voulaient dire certaines personnes : attention au vent à vélo en Zélande …