La deuxième étape importante de cette partie Ouest était celle du parc national du lac St Clair. Ce lieu nous a été décrit comme un des plus jolis de Tasmanie.
Pour nous y rendre, la route est assez difficile, nous la savons comme une des étapes les plus difficiles de la côte Ouest. Nous commençons de bon matin par la grimpette d’un petit col de 5 kilomètres avec déjà 400 mètres de dénivelé positif environ. Nous avons deux choix pour la suite de l’étape :
-
suivre la route principale qui descend à nouveau à 300 mètres d’altitude puis tout remonter pour ré-atteindre les 700 mètres de manière assez sec
-
ou emprunter une piste au relief plus clément, mais après plusieurs expériences avec notre tandem chargé sur des pistes, nous savons que nous y avançons au ralentit et que nous y laissons pas mal d’énergie.
Nous optons quand même pour la piste pour préserver nos genoux.
Nous attaquons donc la piste avec toujours la même difficulté. Au bout de quelques kilomètres, un utilitaire s’arrête à notre niveau. Il nous dit : « hey guys, ça va être de la piste comme cela pendant 20 kilomètres avec un peu de relief, vous allez galérer ! Voulez-vous vous que je vous embarque dans mon trafic ? »
« Ok, pourquoi pas ! »
Nous voilà donc à bord d’un camion de la poste australienne pour une trentaine de kilomètres. La piste à bord du camion avait effectivement l’air longue et difficile, pas de regret ! Cet homme fort sympathique nous a enlevé une bonne épine du pied ! Et nous pourrons ai ainsi plus profiter du lac.
Notre chauffeur nous dépose près d’un centre d’intérêt artisanal et artistique, connu en Tasmanie, que nous souhaitons visiter : « the Wall » : le mur. Cette œuvre d’un sculpteur est une fresque en bois répartie sur deux murs immenses. Elle retrace la vie des premiers colons dans cette région reculée de Tasmanie, ainsi que leur dur labeur pour créer des routes et exploiter les forêts. L’artiste intègre aussi la vie sauvage et la nature dans sa fresque. Les détails et le relief amenés par le sculpteur sont incroyablement réalistes ! Nous avons été bluffé par la précision de ceux-ci.
Il a fallu 10 ans à l’auteur pour réaliser ce travail d’orfèvre et l’œuvre n’est pas encore achevée.
Les photos et la publication de photos sont interdites. Néanmoins pour avoir un aperçu de cette belle création vous pouvez visiter le site www.thewalltasmania.com
Nous finissons nos kilomètres à vélo jusqu’au parc renommé du lac St Clair. Or, des incendies font actuellement rages dans les montages au nord de ce lac, dus en partie à la sécheresse. Le vent n’était pas dans le bon sens le jour de notre arrivée, le lac était en partie sous la fumée, rendant le panorama moins visible et donc moins impressionnant que ce qu’il doit être. Nous avons donc écourté notre passage dans ce parc, en ne faisant qu’une petite marche.
Le lendemain, nous avons pédalé quasi 70 kilomètres sous la fumée, rendant la respiration un peu plus difficile et gâchant le cadre très beau de cette route scénique à travers les montagnes qui est l’unique accès pour « redescendre » sur la côte ouest.
Les pompiers, aidés d’hélicoptères dans les zones reculées, s'activent pour lutter contre ces incendies, mettant en péril des hectares de forêts protégées. Les feux à ce jour (5 février) sont sous contrôle après 2/3 semaines de lutte mais restent encore un peu menaçants.
Pour nous y rendre, la route est assez difficile, nous la savons comme une des étapes les plus difficiles de la côte Ouest. Nous commençons de bon matin par la grimpette d’un petit col de 5 kilomètres avec déjà 400 mètres de dénivelé positif environ. Nous avons deux choix pour la suite de l’étape :
-
suivre la route principale qui descend à nouveau à 300 mètres d’altitude puis tout remonter pour ré-atteindre les 700 mètres de manière assez sec
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ou emprunter une piste au relief plus clément, mais après plusieurs expériences avec notre tandem chargé sur des pistes, nous savons que nous y avançons au ralentit et que nous y laissons pas mal d’énergie.
Nous optons quand même pour la piste pour préserver nos genoux.
Nous attaquons donc la piste avec toujours la même difficulté. Au bout de quelques kilomètres, un utilitaire s’arrête à notre niveau. Il nous dit : « hey guys, ça va être de la piste comme cela pendant 20 kilomètres avec un peu de relief, vous allez galérer ! Voulez-vous vous que je vous embarque dans mon trafic ? »
« Ok, pourquoi pas ! »
Nous voilà donc à bord d’un camion de la poste australienne pour une trentaine de kilomètres. La piste à bord du camion avait effectivement l’air longue et difficile, pas de regret ! Cet homme fort sympathique nous a enlevé une bonne épine du pied ! Et nous pourrons ai ainsi plus profiter du lac.
Notre chauffeur nous dépose près d’un centre d’intérêt artisanal et artistique, connu en Tasmanie, que nous souhaitons visiter : « the Wall » : le mur. Cette œuvre d’un sculpteur est une fresque en bois répartie sur deux murs immenses. Elle retrace la vie des premiers colons dans cette région reculée de Tasmanie, ainsi que leur dur labeur pour créer des routes et exploiter les forêts. L’artiste intègre aussi la vie sauvage et la nature dans sa fresque. Les détails et le relief amenés par le sculpteur sont incroyablement réalistes ! Nous avons été bluffé par la précision de ceux-ci.
Il a fallu 10 ans à l’auteur pour réaliser ce travail d’orfèvre et l’œuvre n’est pas encore achevée.
Les photos et la publication de photos sont interdites. Néanmoins pour avoir un aperçu de cette belle création vous pouvez visiter le site www.thewalltasmania.com
Nous finissons nos kilomètres à vélo jusqu’au parc renommé du lac St Clair. Or, des incendies font actuellement rages dans les montages au nord de ce lac, dus en partie à la sécheresse. Le vent n’était pas dans le bon sens le jour de notre arrivée, le lac était en partie sous la fumée, rendant le panorama moins visible et donc moins impressionnant que ce qu’il doit être. Nous avons donc écourté notre passage dans ce parc, en ne faisant qu’une petite marche.
Le lendemain, nous avons pédalé quasi 70 kilomètres sous la fumée, rendant la respiration un peu plus difficile et gâchant le cadre très beau de cette route scénique à travers les montagnes qui est l’unique accès pour « redescendre » sur la côte ouest.
Les pompiers, aidés d’hélicoptères dans les zones reculées, s'activent pour lutter contre ces incendies, mettant en péril des hectares de forêts protégées. Les feux à ce jour (5 février) sont sous contrôle après 2/3 semaines de lutte mais restent encore un peu menaçants.