Il nous reste plus que quelques jours en van. Nous devons le rendre à Antoine ce samedi 23 avril sur Christchurch. Nous décidons de faire une dernière étape et quittons la côte Ouest en passant plus au Sud par le Haast Pass (dernière et 3ième transversale à travers les Alpes) pour retourner sur la région des grands lacs que nous avions fait partiellement et en vitesse lors de notre relocation depuis l'aéroport de Queenstown. Nous souhaitions nous y rendre à nouveau car cette une région phare de la NZ, nous ne l'avions qu'effleuré et avions donc la volonté de mieux s'en imprégner.
Nous traversons donc le col Haast sans trop s'arrêter pour basculer rapidement de l'autre côté et profiter du soleil couchant sur les lacs d'Hawea et Wanaka.
Le premier jour sur place, la météo n'est pas propice pour faire la belle randonnée que nous avait conseillé Bryony et James. Nous filons donc vers le lac Wakatipu, cet immense lac entre les montagnes où se situe Queenstown. Queenstown que nous n'avions pas encore vu est La ville touristique de l'île du Sud. Dans un cadre magnifique, la ville ne comporte que 11000 habitants permanents, mais, soit disant, reçoit 1 million de visiteurs par an. Station d'été, capital des sports d'aventure et des activités outdoors, Queenstown est aussi situé au pied des stations de skis. C'est une ville très chère orientée à 200% sur le business du tourisme et complètement surpeuplé de touristes. Le cadre est magnifique mais l'on a pas du tout aimé la ville... et son bouillonnement (c'est quasi impossible de s' y garer alors qu'on était pas en pleine saison). Tout est fait pour que vous dépensiez de l'argent et la ville nous a plus fait fuir qu'autre chose.
Nous décidons donc de prendre de la hauteur le lendemain en nous rendant dans une station de ski Kiwi. Nous souhaitons profiter d'une balade alpine et d'un point de vue imprenable sur le lac Wakatipu et une bonne partie de la chaine des Alpes, de Mt Cook au Fiordland.
Petite anecdote sur la station de skis (il semblerait que ce cas là est assez commun en NZ) : elle fait très récente et n'est pas extrêmement grande, mais surtout ce qui nous a frappé c'est qu'on a fait la route par beau temps et en automne, mais on ne se serait jamais vu monter en hiver... la route est à pic, pas toujours des rembardes de protection sur les côtés et les derniers kilomètres sont de la gravel road (piste). Pas vraiment rassurant et pour rien au monde on aurait voulu la faire sur la neige...
Nous traversons donc le col Haast sans trop s'arrêter pour basculer rapidement de l'autre côté et profiter du soleil couchant sur les lacs d'Hawea et Wanaka.
Le premier jour sur place, la météo n'est pas propice pour faire la belle randonnée que nous avait conseillé Bryony et James. Nous filons donc vers le lac Wakatipu, cet immense lac entre les montagnes où se situe Queenstown. Queenstown que nous n'avions pas encore vu est La ville touristique de l'île du Sud. Dans un cadre magnifique, la ville ne comporte que 11000 habitants permanents, mais, soit disant, reçoit 1 million de visiteurs par an. Station d'été, capital des sports d'aventure et des activités outdoors, Queenstown est aussi situé au pied des stations de skis. C'est une ville très chère orientée à 200% sur le business du tourisme et complètement surpeuplé de touristes. Le cadre est magnifique mais l'on a pas du tout aimé la ville... et son bouillonnement (c'est quasi impossible de s' y garer alors qu'on était pas en pleine saison). Tout est fait pour que vous dépensiez de l'argent et la ville nous a plus fait fuir qu'autre chose.
Nous décidons donc de prendre de la hauteur le lendemain en nous rendant dans une station de ski Kiwi. Nous souhaitons profiter d'une balade alpine et d'un point de vue imprenable sur le lac Wakatipu et une bonne partie de la chaine des Alpes, de Mt Cook au Fiordland.
Petite anecdote sur la station de skis (il semblerait que ce cas là est assez commun en NZ) : elle fait très récente et n'est pas extrêmement grande, mais surtout ce qui nous a frappé c'est qu'on a fait la route par beau temps et en automne, mais on ne se serait jamais vu monter en hiver... la route est à pic, pas toujours des rembardes de protection sur les côtés et les derniers kilomètres sont de la gravel road (piste). Pas vraiment rassurant et pour rien au monde on aurait voulu la faire sur la neige...