Nous rentrons à Nouméa le vendredi 27 de Lifou, après une traversée moins mouvementée qu’à l’aller.
Dans la ville, un chef de tribu kanak nous accoste et nous parlera pendant plus d’une heure des coutumes kanaks. Nous arrivons enfin à le quitter pour rejoindre notre hôtel du soir… l’hôtel le moins cher de Nouméa, à priori un hôtel de passe… comme le kanak nous a retardé d’une heure, l’hôtel avait estimé que nous ne voulions plus de la chambre (alors qu’il n’était que 16h) et l’a donné à quelqu’un d’autre ! Nous ne voulons pas revivre la même galère que la semaine dernière et payer une chambre à 100 euros, nous insistons ! Elle finit par nous donner une chambre… 60 euros la nuit pour un hôtel bas de gamme aux rideaux moisis, mais au moins nous avons une chambre et moins chère que la dernière fois ! :-)
Le samedi nous prenons le temps de visiter le centre culturel Tjibaou dédié à la culture kanak, suite aux révoltes des années 80. Ce lieu est surtout impressionnant pour son architecture grandiose, représentant des cases kanaks.
L’après-midi, il est venu le temps de retrouver le cousin d’Alexis, Pascal, le frère de son parrain, et sa femme Christine. Ils sont en Nouvelle-Calédonie depuis une vingtaine d’années ! Alex ne les a pas vu depuis 12 ans (depuis son accident en scooter). Ils nous guideront dans de jolis lieux et points de vue de Nouméa pour que nous ayons un meilleur aperçu de la ville. Le soir ils nous reçoivent généreusement et nous font découvrir de délicieuses spécialités de poisson comme la salade Tahitienne, un régal ! :-)
Le dimanche, Pascal nous a gentiment conduit pour une virée dans le grand sud, région que beaucoup de touristes et locaux nous ont décrit comme très belle mais difficilement faisable en tandem chargé. Grâce à Pascal nous pouvons donc jouir de la découverte de ce sud à la terre ocre qui nous rappelle par endroits l’île rouge de Madagascar avec le même phénomène d’érosion. Nous admirons le grand lac du barrage de Yaté qui est à sec par endroits et rappelle la sécheresse actuelle.
Nous faisons une petite marche pour atteindre les chutes de la Madeleine qui là encore ressemble plus à une cascade actuellement avec le manque d’eau. Au cours de la balade, Pascal nous fait découvrir les orchidées sauvages (cf photos) du pays que nous n’avions pas encore eu l’occasion d’admirer !
Autre point d’intérêt, nous longeons une mine de Nickel avec des infrastructures gigantesques en pleine région sauvage et quasi déserte. Cela tranche avec le paysage et nous rappelle que la NC est le 3ième producteur mondial de l'or vert. Il s'agit de la ressource principale de l’île bien devant le tourisme. L’économie calédonienne vit au rythme des fluctuations du marché du nickel et sait aussi que ces mines auront une fin. Entre préservation d'un environnement et écosystème incroyablement beau mais fragile, source de tourisme et le nickel, la NC devra surement choisir dans les années à venir…
Nous quittons le cousin d'Alex en lui laissant une partie de nos bagages et notre vélo car le lendemain nous prenons un avion domestique pour une petite île, les trajets du Betico (bateau) ne correspondant pas avec nos possibilités pour notre dernière semaine en NC.
Le dimanche soir nous avons été accueillis par une charmante petite famille de Nouméa. Nous avions rencontré Chantal, la maman, la veille au marché de Nouméa (marché très joli d’ailleurs !). Elle a été séduite par notre voyage à vélo et a donc souhaité nous encourager en nous invitant chez elle ! Cette famille nous a généreusement accueillis ! Nous avons été très heureux de partager ce moment avec eux ! Chantal a été au petit soin pour nous !
Le lundi matin, nous profitons de Nouméa pour visiter le musée de Nouvelle Calédonie qui retrace la culture kanak et qui possède de très belles pièces anciennes. Un dernier moyen d’approfondir cette culture qui nous a passionné. Une très belle collection sur les coutumes dans le reste du Pacifique est également à voir.
Dans la ville, un chef de tribu kanak nous accoste et nous parlera pendant plus d’une heure des coutumes kanaks. Nous arrivons enfin à le quitter pour rejoindre notre hôtel du soir… l’hôtel le moins cher de Nouméa, à priori un hôtel de passe… comme le kanak nous a retardé d’une heure, l’hôtel avait estimé que nous ne voulions plus de la chambre (alors qu’il n’était que 16h) et l’a donné à quelqu’un d’autre ! Nous ne voulons pas revivre la même galère que la semaine dernière et payer une chambre à 100 euros, nous insistons ! Elle finit par nous donner une chambre… 60 euros la nuit pour un hôtel bas de gamme aux rideaux moisis, mais au moins nous avons une chambre et moins chère que la dernière fois ! :-)
Le samedi nous prenons le temps de visiter le centre culturel Tjibaou dédié à la culture kanak, suite aux révoltes des années 80. Ce lieu est surtout impressionnant pour son architecture grandiose, représentant des cases kanaks.
L’après-midi, il est venu le temps de retrouver le cousin d’Alexis, Pascal, le frère de son parrain, et sa femme Christine. Ils sont en Nouvelle-Calédonie depuis une vingtaine d’années ! Alex ne les a pas vu depuis 12 ans (depuis son accident en scooter). Ils nous guideront dans de jolis lieux et points de vue de Nouméa pour que nous ayons un meilleur aperçu de la ville. Le soir ils nous reçoivent généreusement et nous font découvrir de délicieuses spécialités de poisson comme la salade Tahitienne, un régal ! :-)
Le dimanche, Pascal nous a gentiment conduit pour une virée dans le grand sud, région que beaucoup de touristes et locaux nous ont décrit comme très belle mais difficilement faisable en tandem chargé. Grâce à Pascal nous pouvons donc jouir de la découverte de ce sud à la terre ocre qui nous rappelle par endroits l’île rouge de Madagascar avec le même phénomène d’érosion. Nous admirons le grand lac du barrage de Yaté qui est à sec par endroits et rappelle la sécheresse actuelle.
Nous faisons une petite marche pour atteindre les chutes de la Madeleine qui là encore ressemble plus à une cascade actuellement avec le manque d’eau. Au cours de la balade, Pascal nous fait découvrir les orchidées sauvages (cf photos) du pays que nous n’avions pas encore eu l’occasion d’admirer !
Autre point d’intérêt, nous longeons une mine de Nickel avec des infrastructures gigantesques en pleine région sauvage et quasi déserte. Cela tranche avec le paysage et nous rappelle que la NC est le 3ième producteur mondial de l'or vert. Il s'agit de la ressource principale de l’île bien devant le tourisme. L’économie calédonienne vit au rythme des fluctuations du marché du nickel et sait aussi que ces mines auront une fin. Entre préservation d'un environnement et écosystème incroyablement beau mais fragile, source de tourisme et le nickel, la NC devra surement choisir dans les années à venir…
Nous quittons le cousin d'Alex en lui laissant une partie de nos bagages et notre vélo car le lendemain nous prenons un avion domestique pour une petite île, les trajets du Betico (bateau) ne correspondant pas avec nos possibilités pour notre dernière semaine en NC.
Le dimanche soir nous avons été accueillis par une charmante petite famille de Nouméa. Nous avions rencontré Chantal, la maman, la veille au marché de Nouméa (marché très joli d’ailleurs !). Elle a été séduite par notre voyage à vélo et a donc souhaité nous encourager en nous invitant chez elle ! Cette famille nous a généreusement accueillis ! Nous avons été très heureux de partager ce moment avec eux ! Chantal a été au petit soin pour nous !
Le lundi matin, nous profitons de Nouméa pour visiter le musée de Nouvelle Calédonie qui retrace la culture kanak et qui possède de très belles pièces anciennes. Un dernier moyen d’approfondir cette culture qui nous a passionné. Une très belle collection sur les coutumes dans le reste du Pacifique est également à voir.