Nous arrivons tant bien que mal dans la nuit du 16 février à l’aéroport de Christchurch… après l’épisode des billets d’avions à prendre et du passeport de Manue, on a faillit devoir descendre de l’avion à Melbourne pour un problème de porte de la soute qui ne fermait pas, mais finalement les techniciens ont réussi à la réparer… La ville vient de subir un nouveau séisme deux jours plus tôt (5,8 sur l’échelle de Richter) mais pour l'instant pas de répliques :-) .
Nous obtenons notre visa tourisme de 3 mois à la douane. Puis s’en suit à nouveau le contrôle de la propreté de notre vélo, de notre tente, de nos chaussures et de notre masque de plongée. Notre matériel est décrété propre, nous pouvons entrer dans le pays dont nous rêvons depuis des années : la Nouvelle-Zélande !
Après une courte nuit passée sur les bancs de l’aéroport comme beaucoup d’autres personnes, nous réassemblons le tandem. Deux jeunes suisses nous abordent, ils viennent de pédaler 2 mois, principalement à vélo (mais aussi en van) sur les 2 îles. Nous sommes rassurés, la Nouvelle-Zélande semble donc faisable à vélo. Néanmoins, ils nous donnent un conseil : regarder la météo et rouler en fonction du vent ! Conseil que nous entendons d’une oreille mais que nous ne comprendrons qu’un peu plus tard…
Nous commençons donc notre voyage par Christchurch, la plus grande ville du sud. Nous arrivons au départ par le bon côté de la ville, qui semble plutôt paisible et agréable : des parcs, quelques vieux bâtiments ou églises en pierre de type British. Mais très rapidement, nous entrons dans le « centre-ville fantôme » de Christchurch… en effet, la ville a subît un important tremblement de terre en 2011 qui avait détruit une bonne partie du centre-ville. À priori, les autorités ont peiné à relancer la construction du centre, ce qui explique l’effet d’après guerre qui y règne. La construction d’un nouveau centre ville a démarré il y a peu, des travaux sont donc encore en cours dans de nombreux endroits. Tout ceci donne une atmosphère bizarre à la ville, même si certaines parties sont plaisantes.
À Christchurch, nous sommes hébergés par notre première Kiwi, Biffy. Finalement, notre hôte ayant du retard, nous serons tout d’abord accueillis par Géraldine et Simon, un couple de français qui louent une chambre chez Biffy et cherchent du travail à Christchurch. Nous aurons eu le temps de sympathiser avec eux durant ces quelques jours.
Nous rencontrons ensuite notre hôte Warmshower, Biffy, au caractère bien déterminé ( Elle a le mental des All Blacks ;-) ). C'est une femme hyper active qui est sur de nombreux fronts : instit à temps plein, championne de Dragon Boat, associatifs et or course cyclotouriste ! Malgré son emploi du temps bien chargé, elle a pris le temps de nous composer notre itinéraire à vélo et nous a donné plein de bons conseils.
Comme à chaque changement de pays, il nous faudra quelques jours pour préparer notre périple : récupérer des cartes et autres documents dans les centres d’information, s’acheter une carte sim, établir notre itinéraire, refaire des courses alimentaires pour rétablir un stock de base qui se trouve à néant après les vols en avion, récupérer de la fatigue du voyage et se remettre du nouveau petit décalage horaire (2h de plus par rapport à Sydney, donc 12h avec la France ), etc…
Il nous faut aussi toujours un petit temps pour « couper » avec le dernier pays exploré et pour nous acclimater au nouveau.
Nous devons choisir notre première étape. Nous avons su par d’autres français, que l’on pouvait nager avec des dauphins en Nouvelle-Zélande un peu plus au Nord de Christchurch… or c’est un rêve de Manue…
En discutant de notre itinéraire avec Biffy, elle nous dit alors que l’on peut le faire dans la péninsule qui prolonge Christchurch. Au départ, nous ne pensions pas faire ce détour. Mais Biffy insiste un peu en nous rappelant que se trouve là bas un village à connexion française et que c’est joli…
Renseignements pris sur l’excursion des dauphins et réservation faite, nous décidons de partir 3 jours sur cette péninsule (2 jours pour pédaler, un jour pour les dauphins et visiter le village).
Nous obtenons notre visa tourisme de 3 mois à la douane. Puis s’en suit à nouveau le contrôle de la propreté de notre vélo, de notre tente, de nos chaussures et de notre masque de plongée. Notre matériel est décrété propre, nous pouvons entrer dans le pays dont nous rêvons depuis des années : la Nouvelle-Zélande !
Après une courte nuit passée sur les bancs de l’aéroport comme beaucoup d’autres personnes, nous réassemblons le tandem. Deux jeunes suisses nous abordent, ils viennent de pédaler 2 mois, principalement à vélo (mais aussi en van) sur les 2 îles. Nous sommes rassurés, la Nouvelle-Zélande semble donc faisable à vélo. Néanmoins, ils nous donnent un conseil : regarder la météo et rouler en fonction du vent ! Conseil que nous entendons d’une oreille mais que nous ne comprendrons qu’un peu plus tard…
Nous commençons donc notre voyage par Christchurch, la plus grande ville du sud. Nous arrivons au départ par le bon côté de la ville, qui semble plutôt paisible et agréable : des parcs, quelques vieux bâtiments ou églises en pierre de type British. Mais très rapidement, nous entrons dans le « centre-ville fantôme » de Christchurch… en effet, la ville a subît un important tremblement de terre en 2011 qui avait détruit une bonne partie du centre-ville. À priori, les autorités ont peiné à relancer la construction du centre, ce qui explique l’effet d’après guerre qui y règne. La construction d’un nouveau centre ville a démarré il y a peu, des travaux sont donc encore en cours dans de nombreux endroits. Tout ceci donne une atmosphère bizarre à la ville, même si certaines parties sont plaisantes.
À Christchurch, nous sommes hébergés par notre première Kiwi, Biffy. Finalement, notre hôte ayant du retard, nous serons tout d’abord accueillis par Géraldine et Simon, un couple de français qui louent une chambre chez Biffy et cherchent du travail à Christchurch. Nous aurons eu le temps de sympathiser avec eux durant ces quelques jours.
Nous rencontrons ensuite notre hôte Warmshower, Biffy, au caractère bien déterminé ( Elle a le mental des All Blacks ;-) ). C'est une femme hyper active qui est sur de nombreux fronts : instit à temps plein, championne de Dragon Boat, associatifs et or course cyclotouriste ! Malgré son emploi du temps bien chargé, elle a pris le temps de nous composer notre itinéraire à vélo et nous a donné plein de bons conseils.
Comme à chaque changement de pays, il nous faudra quelques jours pour préparer notre périple : récupérer des cartes et autres documents dans les centres d’information, s’acheter une carte sim, établir notre itinéraire, refaire des courses alimentaires pour rétablir un stock de base qui se trouve à néant après les vols en avion, récupérer de la fatigue du voyage et se remettre du nouveau petit décalage horaire (2h de plus par rapport à Sydney, donc 12h avec la France ), etc…
Il nous faut aussi toujours un petit temps pour « couper » avec le dernier pays exploré et pour nous acclimater au nouveau.
Nous devons choisir notre première étape. Nous avons su par d’autres français, que l’on pouvait nager avec des dauphins en Nouvelle-Zélande un peu plus au Nord de Christchurch… or c’est un rêve de Manue…
En discutant de notre itinéraire avec Biffy, elle nous dit alors que l’on peut le faire dans la péninsule qui prolonge Christchurch. Au départ, nous ne pensions pas faire ce détour. Mais Biffy insiste un peu en nous rappelant que se trouve là bas un village à connexion française et que c’est joli…
Renseignements pris sur l’excursion des dauphins et réservation faite, nous décidons de partir 3 jours sur cette péninsule (2 jours pour pédaler, un jour pour les dauphins et visiter le village).